Helene Schmitz
Helene Schmitz
Biographie
Née en 1960.
Vit et travaille à Stockholm, Suède.
À travers ses photographies, Helene Schmitz étudie comment l’homme tente de se rendre « maître et possesseur de la nature » selon les mots de Descartes. Loin des projections idylliques véhiculées par une partie de la littérature occidentale, qui attribue à la nature une « bonté innocente », la reliant à la métaphore du Paradis perdu, la photographe étudie la violence et la cruauté du Vivant, des éléments. Elle fait état des rapports de force qui s’opèrent entre l’Homme et la Nature. Helene Schmitz documente différentes entreprises de domestication, de classification ou d’interaction. De ses images se dégage une majesté où cohabitent grande beauté et perspectives terrifiantes.
Expositions
Studies in Falling
Helene Schmitz
08. 11. 2024 – 08. 01. 2025
Inspiré par la peinture Falaises de craie sur l’île de Rügen peinte en 1818 par la figure de proue du romantisme allemand Caspar David Friedrich, Helene Schmitz s’est rendue à l’île de Rügen face à la côte nord de l’Allemagne dans ce qui est aujourd’hui le parc naturel de Jasmund. […]
Avec la série de photographies Studies in Falling, Helene Schmitz a fait le choix d’inverser la perspective et de regarder de face l’emplacement des protagonistes de Friedrich. Par ce changement de perspective, elle évoque, certes, la beauté indéniable de l’endroit, mais s’intéresse également aux matérialités que crée la rencontre visible entre le ciel, la mer et une terre – pas si ferme.
Earthworks
Helene Schmitz
10. 11. 2016 – 07. 01. 2017
Devenue photographe « pour retenir la beauté » Helene Schmitz en suggère ainsi la fragilité, la dimension éphémère, voire ambigüe. Son œuvre a pour principal sujet la nature souvent assimilée à une forme de Paradis par la tradition occidentale. La réalité est bien sûr tout autre. La nature n’a ni sentiment ni intention, elle a pour seul agenda survie et expansion… L’Homme admire sa beauté esthétique et y trouve confort mais cherche aussi à la dominer, à l’exploiter et à « l’ordonner » afin de contrer ce chaos et son mouvement. La frontalité des photos d’Helene Schmitz construites autour d’un axe central confère à l’endroit photographié une dimension scénique. L’artiste parvient ainsi à instaurer une tension entre réalité et fiction.
Kudzu Project
Helene Schmitz
7. 11. – 07. 12. 2013
En 2012 Helene Schmitz entame une étude de terrain aux États-Unis dans l’idée d’explorer le phénomène Kudzu. Le Kudzu, Pueraria lobata est une plante envahissante qui couvre aujourd’hui de vastes étendues du sud de l’Amérique. […]
Helene Schmitz trouve la notion de plante « envahissante » intrigante puisque ce terme est habituellement employé pour décrire des actes de guerre. Le fait d’appliquer une terminologie guerrière à la relation de l’homme avec une plante spécifique et la croissance de celle-ci dit peut-être quelque chose de notre rapport à la nature. Diplômée de théorie du cinéma, Helene Schmitz est happée par la manière cinématographique dont le Kudzu transforme le paysage en une sorte de décor apocalyptique.
Sunken Gardens
Helene Schmitz
22. 10. – 04. 12. 2010
Avec la poésie des Jardins engloutis et la beauté réaliste des Carnivores, Helene Schmitz nous emporte vers le côté obscur de la nature, sur ce qu’elle a d’insatiable, de menaçant – et parfois – de cruel. Les deux séries, chacune à sa manière, interrogent ces espaces fascinants où nature et culture s’embrassent et s’imbriquent.
Hors-les-murs
MAMC, Saint-Etienne Métropole
Ravage
Peter Martensen
09. 03 – 27. 08. 2017
Sans cesse en quête d’une vérité artistique et existentielle, Peter Martensen trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l’art. Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français [extrait du communiqué de presse].
Maison du Danemark, Paris
Ravage
Peter Martensen
06. 09 – 29. 10. 2017
Première exposition de l’artiste sur la scène institutionnelle parisienne, Ravage rassemble peintures, dessins, sculpture et vidéos témoignant de la cohérence de la démarche de l’artiste. Loin d’une rétrospective de l’œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans sa carrière dont elle se veut l’écho [extrait du communiqué de presse].
Publications et textes
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Yoon Ji-Eun
Biographie
Née en 1982 en Corée du Sud.
Vit et travaille à Paris.
Des mondes dans des mondes dans des mondes… Yoon Ji-Eun s’attache à dépeindre les multiples strates qui font la réalité. Ses œuvres sont des superpositions de scènes quotidiennes – un quai de métro, une femme qui étend du linge, des enfants qui jouent – et de paysages fantasmagoriques composés des pensées, des souvenirs ou des fantasmes traversent ses personnages. Elle dessine, creuse et sculpte, le papier ou le bois, fait coexister des simultanéités de temps, de lieux et d’actions. Il s’agit de transposer visuellement la densité d’une réalité élargie, d’une temporalité complexe où espace, mental, corps, matière, passé et présent sont en interaction permanente. Dans l’univers poétique de Yoon Ji-Eun, le mirage relève autant de la réalité que la matérialité tangible.
Quelques œuvres
Expositions
Unanswered Questions
YOON Ji-Eun
22.03. – 11.05. 2024
Les jours passent dans une suite de routines et d’évènements ordinaires : Les enfants grandissent, les saisons se succèdent, les informations en tout genre s’enchainent et se multiplient. Le monde ne cesse de bouger. Ainsi absorbés par le train-train quotidien, les grands sujets fondamentaux paraissent s’éloigner jusqu’au moment où ils s’imposent à nous avec leurs questions de sens, d’utilité et d’exigence. Le nouvel ensemble de reliefs sur bois et de dessins de Yoon Ji-Eun – Unanswered Questions (Questions sans réponse) – titre emprunté au compositeur Tristan Murail – matérialise sa réaction aux interrogations existentielles : […]
Voyager vers l’inaccompli
YOON Ji-Eun
16.09. – 31.10. 2021
Soudain, une lumière éblouissante. Des formes apparaissent, bougent puis valsent, portées par une brise invisible. Tout est de souplesse, d’angles, de textures et de couleurs. En scrutant attentivement, des fragments se révèlent : ils sont cheveux, arbres, jambes, architectures, brins d’herbe… Les œuvres nouvelles de YOON Ji-Eun racontent certes un monde fissuré et flottant, mais le monde en question est stratifié, organique et cyclique. Dans un mouvement de l’intérieur vers l’extérieur l’artiste saisit des images de division, de séparation, de recomposition, voire de dispersion.
Mirages
YOON Ji-Eun
16.03. – 27.04.2013
Ici on tourne, comme dans nombre de danses traditionnelles où l’on se donne la main en cercle dans un mouvement à l’infini… Il règne une impression de flottement, de pause dans toutes ces activités qui ont été accomplies et qu’il faudra répéter encore et encore : les montagnes de linges à agrandir ou à réduire, les cordes à linge suspendues à remplir ou alléger et les sentiers tracés à parcourir…
Yoo Hye-Sook
Biographie
Née en 1964 à Séoul, République de Corée.
Vit et travaille en région parisienne, France.
Le sentiment qui sous-tend l’ensemble de l’œuvre de Yoo Hye-Sook est le désir. Ce désir animal, fondamental, elle le révèle dans chacun des objets du quotidien qu’elle choisit d’étudier avec la minutie troublante qui caractérise son travail. Une chevelure anonyme, des sous-vêtements ou un manteau de fourrure deviennent des spécimens sensuels, intrigants, parfois même angoissants. Dans d’autres œuvres plus abstraites, plus en matière, le désir se mue en pulsion destructrice. C’est à coup de mine de plomb qu’elle transperce le Hanji, ce papier traditionnel coréen extrêmement fin. Le résultat est étonnant : vue cosmique ou infiniment petit ? Fragment ou Grand Tout ? Avec une économie de moyens (crayon, papier, toile et espace), Yoo Hye-Sook donne instinctivement forme à une interrogation qui caractérise toute son œuvre : comment rendre visible cette autre réalité, ce qui est au-delà de notre perception ?
Quelques œuvres
Quelques œuvres
Rien trouvé.
Expositions
Le jour vient
Yoo Hye-Sook
08.09 – 12.11.2022
La toile s’érige en mur. Une vibration se crée entre les pigments sur la surface et l’obscurité des creux, là où le crayon ne parvient pas à pénétrer. Dans un premier temps, vous n’y voyez presque rien. Puis, à la contemplation, les capacités perceptives et le regard s’aiguisent, s’affinent. Par centaines, voire par milliers de lignes, Yoo Hye-Sook réveille doucement une présence. Une forme comme murmurée, un halo, une ombre, une ouverture : une genèse que l’œil attentif perçoit sans parvenir à l’étreindre.
Foyers
Yoo Hye-Sook
23.05 – 16.06.2018
Vous n’y êtes jamais allé et vous n’irez jamais, mais vous connaissez cet endroit alors qu’il n’existe pas. Dans ses nouvelles œuvres Hye-Sook propose un espace, un endroit qu’elle connaît sans le connaître, un lieu qui n’en est pas un, mais qui fait réagir. Il s’agit pour elle de l’exploration d’un indéfini, née du simple plaisir d’entendre et de voir le crayon passer sur la toile. Hye-Sook parvient avec ces œuvres aux apparences minimalistes presque impénétrables à éveiller des registres plus primaires, à activer nos sens, tout en offrant une incursion vers un ailleurs.
Publications et textes
Marlon Wobst
Biographie
Né en 1980 à Wiesbaden, Allemagne.
Vit et travaille à Berlin.
Omniprésence de la figure humaine et « allers-venues » entre matière et présence ; dans ce monde quelques touches suffisent à faire exister un être, un objet inanimé, or leur absorption ou leur dissolution dans l’espace de la matière semble souvent imminente. Le jeune artiste allemand propose un jeu sophistiqué d’apparition et de disparition qui illustre la capacité d’une matière à tenir son propre propos – voir de suggérer une frontière fluctuante entre réalité tangible, rêve et imaginaire. La poésie côtoie l’humour et le tout est porté par une palette des plus sophistiquées qui s’étend de l’obscurité sourde aux tons pastel.
Quelques œuvres
Expositions
Tribus
Marlon Wobst
03.11.2023 – 13.01.2024
Ils courent, sautent, tombent, se regardent, jouent, attendent, font l’amour ou ne font rien – mais toujours ensemble. La tribu, le groupe, le collectif est au cœur du travail récent de Marlon Wobst. Homme sensible au présent et à son époque, Marlon Wobst représente ce qu’il vit et ce qu’il voit. Son agenda est avant tout celui d’un investigateur de l’humain pour l’humain.
Sunsetter
Marlon Wobst
27.01. – 12.03.2022
Variations de roses d’une silhouette qui avance sur fond de nuit : Sunsetter – Coucheur de soleil… Un titre intraduisible, énigmatique et riche de significations qui est bien emblématique des œuvres nouvelles de Marlon Wobst. Si les observations lucides d’existences légères dominaient jusqu’alors le travail, une certaine gravité semble désormais s’être emparée de l’univers de Marlon Wobst.
Relax
Marlon Wobst
13.09. – 09.11.2019
RELAX. Détendez-vous… Adviendra ce qu’il adviendra. A quoi bon vous soucier ? De toute façon, rien ne change. Pourquoi se tourmenter ? Dansez, plongez, on ne vit qu’une fois. Et vous savez, se faire du bien ne fait pas de mal ! Marlon Wobst affirme avec RELAX sa capacité à œuvrer en maître de marionnettes redoutablement efficace et sophistiqué.
L’Oasi
Marlon Wobst
08.09. – 31.10.2017
Masses de corps, de chairs, compressions, cumulations, corps en contemplation et contemplés – L’Oasi réunit la tribu contemporaine sous l’œil gourmand, complice et voyeur de Marlon Wobst : Jeux, intimité en petite culotte, hédonisme, mouvements, poses banales et absurdes – tout y passe, tout y est présenté… Le titre de l’exposition – L’Oasi – nom éponyme d’une plage italienne que l’artiste a beaucoup fréquenté jeune devient ici métaphore de l’existence.
Starter
Marlon Wobst
06.11.2015 – 09.01.2016
Pour sa première exposition personnelle en France le peintre Marlon Wobst a choisi le titre très propice de Starter, d’après une œuvre éponyme présentant un coureur sur le point démarrer. Ici les activités et éléments quotidiens représentés glissent vers un univers onirique – un monde où la vraie chair est celle de la peinture.
Publications et textes
RENCONTRE | Marlon Wobst
Son parcours, sa manière de travailler, ses sources d’inspiration
RENCONTRE | Marlon Wobst
Son rapport à la couleur, à la matière et à la figure humaine
Bente Skjøttgaard
Bente Skjøttgaard
Biographie
Née au Danemark en 1961.
Vit et travaille à Copenhague.
Les œuvres de Bente Skjøttgaard naissent de sa connaissance empirique de la terre, de son amour pour ce matériau naturel et imprévisible, de son désir de toujours pousser les expérimentations techniques plus loin et d’amener la céramique vers de nouveaux horizons. Elle s’inspire du rapport entre la Nature et la Culture, en transformant une matière issue de la nature en artefact rappelant racines, formations rocheuses, faune ou flore aquatique, nuages ou tornades. Ses glaçures invitent irrésistiblement au toucher, elles moussent et dégoulinent, évoquent tantôt l’écume ou les roches volcaniques, tantôt un glaçage pâtissier gourmand ou la glace fondue. Les sculptures qui en résultent sont des abstractions organiques et sensuelles.
Expositions
Timberline
Bente Skjøttgaard
2. 02. – 16.03.2024
[…] Timberline (limite forestière), marque une ligne au-delà de laquelle certaines formes de vie ne peuvent subsister,
invitant ainsi symboliquement à chérir cette vie en conscience de son importance. Bente Skjøttgaard rend ici un
hommage à l’arbre : sa lenteur de croissance, sa capacité de régénérescence et d’absorption de CO², son rôle
précieux d’accueil pour nombre d’animaux et minuscules existences. […]
Tableaux
Bente Skjøttgaard
07.11.2021 – 8.01.2022
Le tableau ou tableau vivant désigne une pratique théâtrale où des acteurs sont figés quelques instants dans un décor, le plus souvent inspiré de l’Histoire, en une image silencieuse. Au sein des sciences, le terme tableau renvoie à une présentation structurée d’un sujet spécifique en images, mots ou chiffres. Tableaux de Bente Skjøttgaard active ces deux définitions.
Look at me !
Bente Skjøttgaard
10.11.2018 – 5.01.2019
Au risque de paraître narcissique – Look at me ! (Regardez-moi !) – le titre de la nouvelle exposition de Bente Skjøttgaard ne fait pas dans la discrétion, ceci pour deux raisons : d’une part, du fait de la nature même du sujet qui a servi d’inspiration : une espèce particulièrement réfléchissante qui attire inévitablement le regard par sa beauté lumineuse. Il s’agit de ladite Méduse américaine, un cténophore pélagique au nom latin de Mnemiopsis leidyi. D’autre part, en raison des dégâts immenses que cette petite hermaphrodite auto-fécondante cause depuis son introduction accidentelle en Mer Noire par le déversement des eaux de cargo dans les années 1980 : une réalité biologique et environnementale préoccupante qui impose qu’on la regarde.
Hors-les-murs
Musée des beaux-Arts de Cambrai
Regarder les nuages
Participation : Bente Skjøttgaard
21. 12. 2019 – 28. 06. 2020
Les sculptures contemporaines de Bente Skjøttgaard côtoient les pochades sur le motif du peintre Georges Maroniez. L’ensemble vient en prolongement de l’accrochage « Regarder les nuages : pour une histoire de l’art du paysage. Choix dans les collections du musée. »
Madoura – Lieu d’art, d’histoire et de création – Vallauris
Look at me !
Bente Skjøttgaard
15.04 – 26.07.2019
« Bente Skjøttgaard, artiste danoise, nous fait participer, avec cette exposition, à une réflexion écologique où le drame se cache insidieusement derrière l’émerveillement des matières et des formes. L’objet de notre fascination est un cténophore pélagique : le Mnemiopsis leidyi. Envahissant, prédateur autant que destructeur, il n’en finit plus de nous séduire » [extrait du texte d’Yves Peltier, commissaire de l’exposition].
Publications et textes
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Shoi
Shoi
Biographie
Née en 1983 à Masan, République de Corée.
Vit et travaille à Nézel, France.
La pratique artistique de Shoi est cathartique. Avec humour et délicatesse, elle investit ses œuvres de ses expériences joyeuses ou traumatiques afin de les affronter, voire de s’en libérer. Y sont associés féminisme, traditions populaires coréennes et récit intime.
Elle développe ainsi une véritable mythologie personnelle dont la narration demeure ambigüe pour le regardeur, peuplée d’animaux (serpents, méduses, cerfs), plantes, fleurs et petites « femmes tronc » aux formes généreuses. Sa pratique inclut la sculpture, le dessin et la performance.
Expositions
Call from inside
Peter Martensen
14. 09 – 3. 11. 2018
Actions déterminées, apathie et immobilité cohabitent dans les nouvelles œuvres de Peter Martensen. Des scénarios parallèles se jouent simultanément – une atmosphère à la fois étrange et familière plane sur l’ensemble… S’en dégage un sentiment de mystère, de démission, voire de chaos où s’immisce ici et là une image d’une tranquillité hors du temps. Call from inside le titre de sa nouvelle exposition interpelle. Est-ce une allusion faite à notre for intérieur ? S’agit-il d’un renvoi à un registre originel, d’un rappel de certains fondamentaux de l’existence humaine ? ou encore d’une incitation à s’éveiller ?
Undone sketches
Peter Martensen
17. 06. – 23. 07. 2016
Intentions, idées, notes, projets, plans, journaux intimes, mémoires, registres, archives ou simples feuillets… Notre vie, nos pensées, nos rêves prennent souvent – et parfois seulement – la forme de traces écrites… Tiroirs et autres rangements en sont emplis. Ajoutons à cela les tentatives, les projets avortés, les impossibilités… La confrontation avec une réalité qui ne veut pas émerger ou qui se heurte à ce temps dont on manque toujours. Pour ne pas mentionner les documents aux informations si sensibles qu’elles vivent intensément mais dans l’ombre… jusqu’au jour où…
Hors-les-murs
Musée national des arts asiatiques – Guimet, Paris
Mes souffles
Une performance de Shoi
le 21.11.2019, à l’occasion des 130 ans du musée
A travers cette performance, Shoi matérialise sa respiration, pour contrer l’angoisse intense de l’asthmatique qui éprouve la sensation de ne plus pouvoir expirer. Pour traiter ce sujet oppressant, elle a choisi la manière ludique, poétique et légère : elle emplit l’espace de ballons transparents, qu’elle gonfle un à un… A mesure qu’elle se vide de son air et l’enferme dans la baudruche, Shoi remplit la pièce d’elle-même. Sa vitalité l’entoure, la recouvre, presque jusqu’à l’étouffement.
Maison du Danemark, Paris
Ravage
Peter Martensen
06. 09 – 29. 10. 2017
Première exposition de l’artiste sur la scène institutionnelle parisienne, Ravage rassemble peintures, dessins, sculpture et vidéos témoignant de la cohérence de la démarche de l’artiste. Loin d’une rétrospective de l’œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans sa carrière dont elle se veut l’écho [extrait du communiqué de presse].
Presse
La peinture métaphysique de Peter Martensen
L'Oeil
Septembre 2017
N° 704
Fabien Simode
Peter Martensen "ravage " l'entendement
Libre Belgique - Arts Libre
23 Août 2017
Semaine du 23 au 29 Août 2017
Roger-Pierre Turine
Vous avez dit "Complot" ?
Dossier
Le Monde diplomatique
Juin 2015
N°735
Dossier illustré par Peter Martensen
Lyndi Sales
Lyndi Sales
Biographie
Née en 1973 à Johannesburg.
Vit et travaille à Cape Town, Afrique du Sud.
La pratique artistique de Lyndi Sales est guidée par son désir d’explorer les frontières de la perception humaine. Elle puise son inspiration dans la physique quantique comme dans la philosophie spirituelle. Son objectif est de parvenir à « regarder les yeux fermés » – faire abstraction de ce qui pourrait obscurcir notre vision – pour finalement percevoir notre réalité dans son entièreté. Elle cherche à exprimer que l’univers est un organisme vivant, que chaque entité fait partie de ce tout et que, pour reprendre les mots de William Blake, « Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est, infinie.» Les œuvres de Lyndi Sales sont traversées par l’imagerie scientifique, on y retrouve des structures qui se répètent à l’échelle microscopique comme dans l’immensité de l’espace. Ces motifs abstraits s’entremêlent pour former des symboles que l’on retrouve dans de multiples cultures. L’artiste explore différentes techniques – dessin, broderie, découpe laser… pour offrir au regardeur des œuvres qui sont comme des ouvertures vers des visions nouvelles, voire un monde utopique.
Expositions
Superpositions
Lyndi Sales
17. 05 – 15. 07. 2023
Avec Superpositions, Lyndi Sales invite à ouvrir grands les yeux et les émotions, à la rejoindre dans un trajet sans but précis, à un voyage vers nous-même. Pour ce faire elle nous offre des œuvres d’une grande beauté dont l’attrait se compare à l’émerveillement que provoque le déploiement soudain des ailes d’un paon ou le reflet de la lumière sur l’eau. Mais si séduction immédiate il y a et avec elle un propos sur l’enchantement possible, il y a aussi un fort désir de nous inviter à creuser, à connaître et ainsi avancer dans notre rapport à l’autre et au monde.
On being
Lyndi Sales
06. 05 – 27. 06. 2021
Lyndi Sales cherche. Elle cherche un ailleurs et elle cherche des retrouvailles. Une évasion pour mieux se connecter au monde, aux autres, à elle-même. Une quête d’amour au sens platonique où amour signifie cheminement vers la connaissance du beau et in fine accès à l’indivisible (la définition du sage Diotima dans Le Banquet de Platon).
Un jour j’ai trouvé un papillon arc-en-ciel
Lyndi Sales
26. 01 – 16. 03. 2019
Composition d’une hormone qui fait aimer, structure d’un cristal et de son parallèle parmi les étoiles, deep web et mandalas : Lyndi Sales emprunte à l’imagerie scientifique et technologique comme aux représentations symboliques. Elle interroge, juxtapose, regarde, rêve pour confronter frayeurs et fascinations, émerveillement et horreur.
Par ses œuvres en deux ou trois dimensions, l’artiste repousse les frontières du visible pour accéder à une meilleure compréhension du monde. Son exploration des réalités sociétales s’accompagne d’une quête spirituelle.
Liens
Lyndi Sales, Didier Boussarie
23. 03. – 22. 04. 2017
Emerveillement, tendresse, étonnement, stupeur et parfois angoisse – la Nature embrasse et suscite l’éventail complet de nos émotions possibles… La relation qu’elle entretient avec notre civilisation figure en haut de l’agenda en raison des enjeux écologiques. Et pourtant elle semble de plus en plus loin des vies urbaines de la majorité d’entre nous.
Pour le citadin la nature se résume en grande partie à des images, un rêve… ou bien nous la rencontrons par petit bouts quand elle arrive malgré nous à s’immiscer dans notre cadre.
Hors-les-murs
Biennale de Venise (Pavillon sud-africain)
Satellite telescope
Lyndi Sales
04. 06 – 27. 11. 2011
L’installation Satellite telescope témoigne de la fascination de l’artiste pour les rapports analogiques entre infiniment grand et infiniment petit. Elle s’inspire à la fois des images aux rayons X prises par le premier satellite envoyé depuis le continent africain (Uhuru, qui signifie liberté en Swahili), et de la structure en double hélice de l’ADN. C’est une réflexion sur le visible et l’invisible, sur les passages d’un monde ou d’un système à un autre et sur la frontière mouvante entre réalité matérielle et réalités alternatives.
Le Bon marché, Paris
Audience
Lyndi Sales
23. 05 – 06. 09. 2014
L’installation Audience représente simultanément l’organe de la vue et un ensemble de regards. Comment regardons-nous ? Que choisissons-nous de voir ? Que ne voulons-nous / pouvons-nous pas voir ? Qu’aimerions-nous voir ? L’œuvre est un symbole de l’œil qui observe, protecteur, mais aussi de l’œil qui voit plus loin. Audience reflète un désir humain d’évasion, d’utopie, de déformation et de transformation devant une réalité parfois douloureuse qu’il faut oser regarder en face.
Presse
Publications et textes
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Min Jung-Yeon
Min Jung-Yeon
Biographie
Née en 1979 à Gwangju, République de Corée.
Vit et travaille en France.
Brume légère qui se répand pour se dissiper aussitôt ou forme imposante qui entoure, étouffe, engloutit… Rien n’est statique dans le monde à la délicatesse extrême de Min Jung-Yeon. Rien n’est tout à fait réel comme rien n’est complètement imaginaire. Ses œuvres se présentent telles des compositions scéniques, frontales, face auxquelles l’on retient son souffle en attendant de voir la suite. S’expriment ici l’être intime de l’artiste et son appartenance à une histoire contemporaine.
L’intérêt profond que porte Min Jung-Yeon pour les sciences, l’exploration de l’espace notamment, est lié à son observation poussée de la nature depuis le plus jeune âge. Elle tient aussi à sa culture d’origine, celle d’une Corée tiraillée entre consumérisme et tradition, où l’héritage chamaniste a encore un ancrage. Dessins, peintures, volumes, installations – Min Jung-Yeon est à l’aise dans toutes les dimensions, de l’infiniment petit au monumental.
Expositions
Croquez la pomme
Min Jung-Yeon
2. 02. > 15. 03. 2025
Le mythe naît de ce qui nous échappe, de ce qui reste inintelligible, voire paradoxal ou de ce qui relève d’une réalité ingérable… Le mythe est une construction, une mise en scène des faits imaginaires, de forces physiques, de symboles… porteuse de messages d’ordre philosophique, métaphysique ou social*. Min Jung-Yeon aime les mythes, les contes et la philosophie. Tout comme elle est fascinée par l’espace, par la physique quantique et ce monde que les sciences ne cessent d’explorer, mais dont la dimension infinie nous échappe. Dans son œuvre, ces modes de réflexion se croisent avec son vécu pour former un univers métaphorique.
Mais le paysage est encore là
Min Jung-Yeon
27. 01 – 18. 03. 2020
Métaphores de toujours, les paysages de Min Jung-Yeon évoluent avec elle.
Une fluidité nouvelle et un geste puissant ont pris place dans son œuvre avec la création de son installation monumentale Tissage présentée au MNAAG – Musée national des arts asiatiques Guimet en 2019-2020. Une énergie s’est libérée et apporte désormais son souffle, parfois violent, parfois telle une douce expiration. Les compositions autrefois entièrement pensées ont cédé la place à un lâcher prise qui cohabitent aujourd’hui étroitement avec la minutie dont l’artiste est capable.
L’aube après la nuit
Min Jung-Yeon
13.03. – 09.05.2020
Faut-il s’enfoncer dans l’obscurité pour la connaître, l’étreindre et enfin être capable de (re)trouver la lumière ? C’est ce que semble suggérer Min Jung-Yeon avec le titre de sa nouvelle exposition : L’aube après la nuit.
Dans ses dernières œuvres sur papier, la couleur se fait plus présente : des lumières frêles mais indéniables. Les traces de larges gestes au pinceau y occupent une place importante – telles une libération, un nouveau souffle. On reconnait l’élan de certains calligraphes.
La lettre de Pluton
Min Jung-Yeon
06.03. – 28.04.2018
En 2006 la planète Pluton s’est vu exclure du système solaire et reléguée au rang de « planète naine » en raison de sa masse et son volume tous deux trop faibles et d’une trajectoire « déviante ». Les premières images de Pluton envoyées par la sonde New Horizons (2015) révélaient une surface en partie couverte de glace de méthane et d’azote prenant à un endroit la forme d’un cœur. Le symbolisme de ce rejet d’une petite planète différente au grand cœur de glace a inspiré Min Jung-Yeon. La lettre de Pluton explore ainsi la notion de réconciliation avec une perte, de l’intégration de ce qui nous échappe, de points de vue et d’appréciations autres.
Hors-les-murs
Atelier d’Estienne, Pont-Scorff
Autres Soleils
23. 06 > 22. 09. 2024
Pour le parcours d’art contemporain L’art chemin faisant au centre d’art de Pont-Scorff, l’artiste Min Jung-Yeon est venue semer quelques soleils dans la grisaille bretonne. Floraisons d’œuvres choisies dans sa production récente ou créées pour le lieu, son univers hybride se déploie sous diverses formes comme une invitation au voyage destinée au corps autant qu’à l’esprit. Cheminement et révélation. Comme un petit matin levé dans la tempête. […]
C’est encore en mouvement que se donne le dessin de Min Jung-Yeon lorsqu’il se déploie hors du support traditionnel. Repensée pour le lieu, l’installation « Tissage », créée en 2019 pour le musée Guimet, se déploie ici, en résonance sur trois salles. La forêt mystérieuse où trouve refuge un gigantesque oiseau, d’abord dessinée progresse vers la troisième dimension pour devenir, dans la dernière salle, plumes réelles réalisées en papier. […]
Suquet des Artistes, Cannes
Effluves d’un temps Éphémère
14.05 > 03.09.2023
Brume légère qui se répand pour se dissiper aussitôt ou forme imposante qui entoure, étouffe, engloutit…
Rien n’est statique dans les œuvres à la délicatesse extrême de Min Jung-Yeon. Rien n’est tout à fait réel comme rien n’est complètement imaginaire. L’intérêt profond que porte Min Jung-Yeon pour les sciences, l’exploration de l’espace notamment, est lié à son observation poussée de la nature depuis son plus jeune âge dans la campagne sud-coréenne. Artiste née en République de Corée et vivant en France, son travail lui permet de réfléchir sur des questions intimes, sur le concept d’identité mais aussi sur son héritage spirituel et symbolique, faisant référence aux rituels chamaniques coréens par exemple.
Centre Culturel Coréen
Désert plein — Soif, sommeil, silence
29. 11. 2021 – 17. 02. 2020
Exposées au Centre Culturel Coréen, les nouvelles œuvres de Min Jung Yeon reflètent une singulière cohérence et évolution dans le travail de l’artiste. Bien sûr, elles s’inscrivent dans une même tentative de réconciliation et de mise en tensions d’éléments hétérogènes, aux frontières du réel et de l’irréel. Mais elles se sont délestées d’une forme d’accumulation complexe de formes et de couleurs pour frayer vers quelque chose de plus simple, où le vide et l’abstrait ont pris une place primordiale. (Ce qui reste, 2022, Amélie Adamo)
Musée Guimet
Carte Blanche à Min Jung-Yeon
06.11.2019 – 17.02.2020
Cette nouvelle Carte blanche contemporaine, confiée à l’artiste coréenne MIN Jung-yeon, présente une installation immersive et organique, créée spécifiquement pour le MNAAG. S’appuyant sur la réalité d’un pays scindé en deux depuis 65 ans et sur la notion de réconciliation, l’installation se compose de dessins grands formats et de troncs de bouleaux dessinés sur des papiers.
Tel un kaléidoscope immense, les jeux de miroirs offrent à la vue de subtils entrelacs en superposition. L’approche philosophique du temps, de la mémoire et de l’espace, naît de la rencontre harmonieuse de l’organique et de la fluidité.
Musée d’art moderne et contemporain, Saint-Etienne Métropole
Demander le chemin à mes chaussures
Min Jung-Yeon
23. 06 – 30. 09. 2012
« Des lignes de fuite qui filent vers l’infini, des formes aux allures organiques en suspens dans l’espace, d’étranges agglomérats innommables qui ne réfèrent à rien ou si peu, soudain un élément parfaitement identifiable…
[…] Peinture et dessin, l’oeuvre de Min Jung-Yeon est riche d’un monde étrange qui mêle références biologiques, végétales, animales et humaines pour instruire une esthétique où le corps, s’il n’est pas explicite, opère notamment comme vecteur libératoire du geste créateur, un substitut à l’excès de contrôle et au blocage respiratoire. » Extrait du texte de Philippe Piguet publié dans le catalogue de l’exposition « Min Jung-Yeon, Demander le chemin à mes chaussures » au MAMC+ de Saint-Etienne Métropole (2012).
Presse
Publications et textes
Min Jung-Yeon, à propos de son exposition Carte blanche au Musée national des arts asiatiques – Guimet
vidéo
11. 2019 – 02. 2020
La notion de réconciliation est à l’origine de l’installation de Min Jung-Yeon.
L’œuvre s’appuie sur le vécu de l’artiste et la réalité tragique d’une Corée scindée en deux depuis soixante-six ans.
Min Jung-Yeon convoque la pensée de Lao-Tseu sur les contraires contemporaine et les considérations sur le temps et l’espace du physicien quantique Carlo Rovelli.
Échange avec Min Jung-Yeon – Domaine de Chaumont sur Loire – 2021
« Fantasmatique, grotesque et surréaliste: dans les profondeurs du subconscient de Min Jung-Yeon »
Vidéo de la conversation
Chat Room – ASIA NOW – 18. 10. 2019
Avec Sophie Makariou, directrice du musée national des Arts asiatiques – Guimet, Min Jung-Yeon, artiste et Maria Lund, galeriste. Conversation animée par Olivia Sand, journaliste pour le Asian Art Newspaper et auteure du livre “Contemporary Voices from the Asian and Islamic Art Worlds.”
Peter Martensen
Peter Martensen
Biographie
Né en 1953 à Odense, Danemark.
Vit et travaille à Copenhague et à Northern Sealand, Danemark.
Peter Martensen construit tel un scénographe qui juxtapose et rythme accessoires et figures humaines dans un espace, qui nous est à la fois étranger et familier. Ses œuvres sont le véhicule d’observations poignantes, d’angoisses profondes, mais aussi un lieu de rendez-vous avec le rêve. Dans un monde multivers, il fait se rencontrer registres et « réalités » des plus divers – notre cadre perceptif dans toute son étendue complexe. L’artiste parle de « réalité mentale ». Le dessin occupe une place très importante dans l’œuvre de Peter Martensen : le fusain offre un modelé aux tons des plus subtiles, l’aquarelle ou l’encre une fluidité que cernent et déterminent des traits rapides au crayon et au feutre.
Expositions
Boundaries
Peter Martensen
20.09. – 02.11.2024
En fin observateur de son temps et des souterrains de l’âme humaine, Peter Martensen nous livre avec Boundaries un ensemble de scènes vibrantes. Des figures humaines évoluent dans les paysages – au bord d’un gouffre, les pieds dans l’eau, dans une barque, quasi invisibles, fondues dans un champ – ou bien dans des intérieurs et enclos sans nom. La tension est grande malgré l’immobilité qui règne dans ces situations. En bas d’un grand mur, une femme solitaire en blouse d’infirmière dirige le faisceau d’une torche allumée vers le haut : Signal !
bla bla bleu
Peter Martensen & Morten Søndergaard
04.02. – 27.03.2021
Des « conversations bleues » entre les deux artistes danois sont à l’origine de bla bla bleu, la première exposition commune du peintre plasticien Peter Martensen et de son grand ami le poète, performeur et plasticien Morten Søndergaard.
Call from inside
Peter Martensen
14.09. – 03.11.2018
Actions déterminées, apathie et immobilité cohabitent dans les nouvelles œuvres de Peter Martensen. Des scénarios parallèles se jouent simultanément – une atmosphère à la fois étrange et familière plane sur l’ensemble… S’en dégage un sentiment de mystère, de démission, voire de chaos où s’immisce ici et là une image d’une tranquillité hors du temps. Call from inside le titre de sa nouvelle exposition interpelle. Est-ce une allusion faite à notre for intérieur ? S’agit-il d’un renvoi à un registre originel, d’un rappel de certains fondamentaux de l’existence humaine ? ou encore d’une incitation à s’éveiller ?
Undone sketches
Peter Martensen
17.06. – 23.07.2016
Intentions, idées, notes, projets, plans, journaux intimes, mémoires, registres, archives ou simples feuillets… Notre vie, nos pensées, nos rêves prennent souvent – et parfois seulement – la forme de traces écrites… Tiroirs et autres rangements en sont emplis. Ajoutons à cela les tentatives, les projets avortés, les impossibilités… La confrontation avec une réalité qui ne veut pas émerger ou qui se heurte à ce temps dont on manque toujours. Pour ne pas mentionner les documents aux informations si sensibles qu’elles vivent intensément mais dans l’ombre… jusqu’au jour où…
Hors-les-murs
MAMC, Saint-Etienne Métropole
Ravage
Peter Martensen
09. 03 – 27. 08. 2017
Sans cesse en quête d’une vérité artistique et existentielle, Peter Martensen trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l’art. Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français [extrait du communiqué de presse].
Maison du Danemark, Paris
Ravage
Peter Martensen
06. 09 – 29. 10. 2017
Première exposition de l’artiste sur la scène institutionnelle parisienne, Ravage rassemble peintures, dessins, sculpture et vidéos témoignant de la cohérence de la démarche de l’artiste. Loin d’une rétrospective de l’œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans sa carrière dont elle se veut l’écho [extrait du communiqué de presse].
Presse
Lee Jin Woo
Lee Jin Woo
Biographie
Né en 1959 à Séoul, République de Corée.
Vit et travaille en France.
Pour Lee Jin Woo, la création vaut méditation. Son processus de travail est long, physiquement exigeant et répétitif – comme une prière récitée maintes et maintes fois. Les œuvres de l’artiste associent strates de papier Hanji, un papier traditionnel translucide et couches de charbon de bois. Parfois s’ajoutent des pigments, surtout des bleus. Lee Jin Woo crée un espace-temps, un monde lumière ; un univers où même les tempêtes et les brises ne font plus aucun bruit. Devant ces rectangles et carrés de matière, rustiques et raffinés à la fois, concentrés et muets, un originel universel se manifeste. Arte povera, minimalisme, rapport au vide…
L’œuvre de Lee Jin Woo s’inscrit – avec sa signature particulière – dans la tradition contemporaine coréenne. L’héritage de la génération des artistes Dansaekwha croise un besoin spécifique d’immersion, d’absorption, voire de disparition propre à Lee Jin Woo.
Expositions
Eranthis
Lee Jin Woo
23.03 – 18.05.2019
Être absorbé par la matière, faire corps avec, y disparaître, aller ailleurs… Pour Lee Jin Woo, la création vaut méditation. Son processus de travail est long, physiquement exigeant et répétitif, comme une prière récitée maintes et maintes fois. Le regardeur, quant à lui, se trouve devant un paysage d’écorce, d’obscurité, paysage de roche ou paysage aérien quasi-transparent. Un voile semble planer, attirant mais impénétrable. L’œil s’y pose, cherche à traverser la surface pour être finalement pris dans la matière à son tour et emmené ailleurs.
Undone sketches
Peter Martensen
17. 06. – 23. 07. 2016
Intentions, idées, notes, projets, plans, journaux intimes, mémoires, registres, archives ou simples feuillets… Notre vie, nos pensées, nos rêves prennent souvent – et parfois seulement – la forme de traces écrites… Tiroirs et autres rangements en sont emplis. Ajoutons à cela les tentatives, les projets avortés, les impossibilités… La confrontation avec une réalité qui ne veut pas émerger ou qui se heurte à ce temps dont on manque toujours. Pour ne pas mentionner les documents aux informations si sensibles qu’elles vivent intensément mais dans l’ombre… jusqu’au jour où…
Hors-les-murs
MAMC, Saint-Etienne Métropole
Ravage
Peter Martensen
09. 03 – 27. 08. 2017
Sans cesse en quête d’une vérité artistique et existentielle, Peter Martensen trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l’art. Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français [extrait du communiqué de presse].
Maison du Danemark, Paris
Ravage
Peter Martensen
06. 09 – 29. 10. 2017
Première exposition de l’artiste sur la scène institutionnelle parisienne, Ravage rassemble peintures, dessins, sculpture et vidéos témoignant de la cohérence de la démarche de l’artiste. Loin d’une rétrospective de l’œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans sa carrière dont elle se veut l’écho [extrait du communiqué de presse].
Presse
La peinture métaphysique de Peter Martensen
L'Oeil
Septembre 2017
N° 704
Fabien Simode
Peter Martensen "ravage " l'entendement
Libre Belgique - Arts Libre
23 Août 2017
Semaine du 23 au 29 Août 2017
Roger-Pierre Turine
Vous avez dit "Complot" ?
Dossier
Le Monde diplomatique
Juin 2015
N°735
Dossier illustré par Peter Martensen
Publications et textes
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Dates
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