Un jour j’ai trouvé un papillon arc-en-ciel
Présentation
Composition d’une hormone qui fait aimer, structure d’un cristal et de son parallèle parmi les étoiles, deep web et mandalas : Lyndi Sales emprunte à l’imagerie scientifique et technologique comme aux représentations symboliques.
Elle interroge, juxtapose, regarde, rêve pour confronter frayeurs et fascinations, émerveillement et horreur. De par ses œuvres en deux ou trois dimensions, l’artiste repousse les frontières du visible pour accéder à une meilleure compréhension du monde. Son exploration des réalités sociétales s’accompagne d’une quête spirituelle.
Depuis des années, elle puise une partie de son inspiration dans la recherche spatiale de pointe tout en se nourrissant de la pensée bouddhiste. Naviguant entre microcosme et macrocosme, entre tangible et immatériel, nombre de ses œuvres cherchent à donner forme aux dualités lumière/obscurité, masculin/féminin, vie/mort. Désir d’équilibre, de visions et d’utopies voire d’autres mondes possibles, l’univers de Lyndi Sales est profondément marqué par son environnement : une réalité sud-africaine de tous les contrastes, où se côtoient notamment innovation et détresse matérielle.
Son langage est celui du beau, telle la beauté captivante du papillon qui incarne la mutation possible.
Agenda
Type d'événement
Titre
DatesHorairesLieu
Vernissage
Migrations
23 Août 202018h-20h30Galerie Maria Lund
Artist talk
Nicolai Howalt & Esben Klemann
Samedi 16 novembre17hGalerie Maria Lund
Presse
La peinture métaphysique de Peter Martensen L'Oeil
Septembre 2017N° 704Fabien Simode
Peter Martensen "ravage " l'entendement Libre Belgique - Arts Libre
23 Août 2017Semaine du 23 au 29 Août 2017Roger-Pierre Turine
Vous avez dit "Complot" ?Dossier Le Monde diplomatique
Juin 2015N°735Dossier illustré par Peter Martensen
Publications et textes
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,