Helene Schmitz
Biographie
Née en 1960.
Vit et travaille à Stockholm, Suède.
À travers ses photographies, Helene Schmitz étudie comment l’homme tente de se rendre « maître et possesseur de la nature » selon les mots de Descartes. Loin des projections idylliques véhiculées par une partie de la littérature occidentale, qui attribue à la nature une « bonté innocente », la reliant à la métaphore du Paradis perdu, la photographe étudie la violence et la cruauté du Vivant, des éléments. Elle fait état des rapports de force qui s’opèrent entre l’Homme et la Nature. Helene Schmitz documente différentes entreprises de domestication, de classification ou d’interaction. De ses images se dégage une majesté où cohabitent grande beauté et perspectives terrifiantes.
Expositions
Studies in Falling
Helene Schmitz
08. 11. 2024 – 08. 01. 2025
Inspiré par la peinture Falaises de craie sur l’île de Rügen peinte en 1818 par la figure de proue du romantisme allemand Caspar David Friedrich, Helene Schmitz s’est rendue à l’île de Rügen face à la côte nord de l’Allemagne dans ce qui est aujourd’hui le parc naturel de Jasmund. […]
Avec la série de photographies Studies in Falling, Helene Schmitz a fait le choix d’inverser la perspective et de regarder de face l’emplacement des protagonistes de Friedrich. Par ce changement de perspective, elle évoque, certes, la beauté indéniable de l’endroit, mais s’intéresse également aux matérialités que crée la rencontre visible entre le ciel, la mer et une terre – pas si ferme.
Earthworks
Helene Schmitz
10. 11. 2016 – 07. 01. 2017
Devenue photographe « pour retenir la beauté » Helene Schmitz en suggère ainsi la fragilité, la dimension éphémère, voire ambigüe. Son œuvre a pour principal sujet la nature souvent assimilée à une forme de Paradis par la tradition occidentale. La réalité est bien sûr tout autre. La nature n’a ni sentiment ni intention, elle a pour seul agenda survie et expansion… L’Homme admire sa beauté esthétique et y trouve confort mais cherche aussi à la dominer, à l’exploiter et à « l’ordonner » afin de contrer ce chaos et son mouvement. La frontalité des photos d’Helene Schmitz construites autour d’un axe central confère à l’endroit photographié une dimension scénique. L’artiste parvient ainsi à instaurer une tension entre réalité et fiction.
Kudzu Project
Helene Schmitz
7. 11. – 07. 12. 2013
En 2012 Helene Schmitz entame une étude de terrain aux États-Unis dans l’idée d’explorer le phénomène Kudzu. Le Kudzu, Pueraria lobata est une plante envahissante qui couvre aujourd’hui de vastes étendues du sud de l’Amérique. […]
Helene Schmitz trouve la notion de plante « envahissante » intrigante puisque ce terme est habituellement employé pour décrire des actes de guerre. Le fait d’appliquer une terminologie guerrière à la relation de l’homme avec une plante spécifique et la croissance de celle-ci dit peut-être quelque chose de notre rapport à la nature. Diplômée de théorie du cinéma, Helene Schmitz est happée par la manière cinématographique dont le Kudzu transforme le paysage en une sorte de décor apocalyptique.
Sunken Gardens
Helene Schmitz
22. 10. – 04. 12. 2010
Avec la poésie des Jardins engloutis et la beauté réaliste des Carnivores, Helene Schmitz nous emporte vers le côté obscur de la nature, sur ce qu’elle a d’insatiable, de menaçant – et parfois – de cruel. Les deux séries, chacune à sa manière, interrogent ces espaces fascinants où nature et culture s’embrassent et s’imbriquent.
Hors-les-murs
MAMC, Saint-Etienne Métropole
Ravage
Peter Martensen
09. 03 – 27. 08. 2017
Sans cesse en quête d’une vérité artistique et existentielle, Peter Martensen trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l’art. Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français [extrait du communiqué de presse].
Maison du Danemark, Paris
Ravage
Peter Martensen
06. 09 – 29. 10. 2017
Première exposition de l’artiste sur la scène institutionnelle parisienne, Ravage rassemble peintures, dessins, sculpture et vidéos témoignant de la cohérence de la démarche de l’artiste. Loin d’une rétrospective de l’œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans sa carrière dont elle se veut l’écho [extrait du communiqué de presse].
Publications et textes
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
Titre
Dates
Contrairement à une opinion répandue, le Lorem Ipsum n’est pas simplement du texte aléatoire. Il trouve ses racines dans une oeuvre de la littérature latine classique datant de 45 av. J.-C.,
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